La vie rive aux aurores les avenues mauvaises
Et veut franchir le pas vertige des falaises
Pour des embarquements. Plonger au bleu de l'encre
Ce baume empoisonné. Plus tard, plus tard la terre !
Du sang des épousailles aux amours en allée,
De si tendres obstacles sacrent des temps blessés,
Et s'obstinent du rêve les rhizomes nacrés,
Quand chante l'espoir avide des lendemains,
Nous n'avons plus le choix les cartes sont truquées,
Nos corps sont les décors pluvieux des anciens jours.
Jaime Jorissao
Izo remix : ici
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